Comme je l'ai déjà écrit un milliard de fois
Tout autour de chez moi, la présence de Duster est quand même importante,, d'épisodique dans les grandes villes (1), il prolifère dans les campagnes, du moins dans la mienne.
Constat formulé sur la base de mes modestes déplacements et aussi lors de regroupement joviaux humains que sont les vides greniers. Genre de manifestation qui pullule, ou l'odeur des saucisses grillées et des frites vous envahissent le cerveau des 8 heures....
Bref, sur les parking improvisés, que sont les champs et autres lieux destinés normalement aux mammifères , observant avec attention le parc automobile de la rencontre (1).
Bref, le nombre de Dusty rutilants est notable, et je constate comme dimanche dernier, la disparition lente mais irrémédiable de l'original. Venant de la ville, il y a cinq maintenant, j'étais le seul DustyII, bénéficiant des regards concupiscents des gens honnêtes
Maintenant, je baigne dans le commun, des dusty Aujourd'hui regardant le paysage automobile, Dustérien, local est extra local, force est de constater que les Dino-Dusty
semblent être une race en voie d'extinction, la version II devenant majoritaire, mais pour pas longtemps, car je vois de plus en plus de version II, phase 2 si je peux dire comme ça.(1)
Il est amusant de constater que plus ce lieu se rapproche des frontières du département voisin (33) plus le parc automobile change, c'est flagrant, l'âge et la marque du véhicule ne sont plus en adéquation, ainsi les citrons sont moins nombreuses, au profit de teutonnes rutilantes en tout genre, quant au Dusty n'en parlons pas. Il n'est pas absent mais presque.
Cette constatation est vrai aussi localement, car plus ont s'éloigne de la Préfecture du département, plus le parc automobile est comment dire ? Vieillissant ? Moins moderne ? moins tape à l'oeil ? Moins Français ?
Ce qui me fait dire, que le Dusty 3, n'est pas près d'apparaître sur nos charmantes et tortueuses routes Périgourdine, l'autochtone ayant apparemment une fâcheuse tendance pour les constructeurs à conserver son bien, au delà des pubs et de cette tendance à la consommation.
L'individu semblant être insensible aux changements incessants, au profit d'une durabilité de l'objet
